Les abeilles se plaisent en ville alors qu’elles subissent les pesticides et les changements de cultures dans les campagnes !
Selon une étude de l’INRA sur les abeilles sauvages un tiers des neuf cent espèces françaises ont été trouvées dans l’agglomération de Lyon même dans des zones très urbanisées.
Même observations pour les abeilles domestiques dont le nombre ne cesse d’augmenter en ville, notamment, outre certains jardins, sur les toits de sociétés ou les balcons de particuliers.
Ainsi à Paris il y aurait près de huit cent ruches, pas forcément toutes déclarées, ce qui pose un problème de zone de butinage et de nectar notamment lorsque les plantations ou les conditions météorologiques (comme au printemps 2016) ne sont pas favorables.
Un label APIcité a même été créé ; dix-sept villes (dont Paris, Dijon, Tarbes) ont reçu ce label décerné par des apiculteurs professionnels. Ces experts veulent, outre les ruches, pousser les élus à choisir la plantation dans les parcs de plantes mellifères.
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